L'histoire de la Maison Houillon
L'histoire de la Maison Houillon
L'histoire de
la Maison Houillon
L’atelier Houillon : une bijouterie joaillerie de petites mains en or
L’atelier historique, situé à côté de l’église Saint Benoît. Un lieu confidentiel et hors du temps où un savoir-faire légué de génération en génération s’épanouit chaque jour.
La porte est à même la rue. Un bois brut, épais, gardien d’un atelier d’exception. Depuis l’origine de sa création, la boutique n’a pas vraiment pignon sur rue : pas de vitrine, pas de devanture surexposée, pas de publicité…
À l’image de ses discrets artisans, l’endroit se veut rare et précieux. Mais libre à chacun de pousser la porte, et d’entrer dans ce lieu hors du commun : client, curieux, passionné… La porte vous est toujours ouverte !
Une fois à l’intérieur, les tomettes typiques au sol vous accueillent dans un site ayant traversé les époques, mais n’ayant pas renié la modernité pour autant.
Nos créations sont exposées, et vous pouvez également avoir un aperçu de l’atelier dans lequel nous façonnons les bijoux. De vieux établis en bois massif sur lesquels sont disposés des outils anciens mais robustes, une grande baie vitrée donnant sur un jardin fleuri, propice à l’inspiration…
Une atmosphère hors du temps et studieuse se dégage de cette adresse unique en ville, véritable écrin pour les trésors sur lesquels travaillent nos équipes.
L’atelier Houillon : une bijouterie joaillerie de petites mains en or
L’atelier historique, situé à côté de l’église Saint Benoît. Un lieu confidentiel et hors du temps où un savoir-faire légué de génération en génération s’épanouit chaque jour.
La porte est à même la rue. Un bois brut, épais, gardien d’un atelier d’exception. Depuis l’origine de sa création, la boutique n’a pas vraiment pignon sur rue : pas de vitrine, pas de devanture surexposée, pas de publicité…
À l’image de ses discrets artisans, l’endroit se veut rare et précieux. Mais libre à chacun de pousser la porte, et d’entrer dans ce lieu hors du commun : client, curieux, passionné… La porte vous est toujours ouverte !
Une fois à l’intérieur, les tomettes typiques au sol vous accueillent dans un site ayant traversé les époques, mais n’ayant pas renié la modernité pour autant.
Nos créations sont exposées, et vous pouvez également avoir un aperçu de l’atelier dans lequel nous façonnons les bijoux. De vieux établis en bois massif sur lesquels sont disposés des outils anciens mais robustes, une grande baie vitrée donnant sur un jardin fleuri, propice à l’inspiration…
Une atmosphère hors du temps et studieuse se dégage de cette adresse unique en ville, véritable écrin pour les trésors sur lesquels travaillent nos équipes.
L’atelier Houillon a su ainsi s’adapter à la modernité, mais a conservé son âme, son vécu, son histoire… Un berceau de tous les talents ayant œuvré sur ces établis, génération après génération.
L’atelier Houillon a su ainsi s’adapter à la modernité, mais a conservé son âme, son vécu, son histoire… Un berceau de tous les talents ayant œuvré sur ces établis, génération après génération.
L’atelier Houillon a su ainsi s’adapter à la modernité, mais a conservé son âme, son vécu, son histoire… Un berceau de tous les talents ayant œuvré sur ces établis, génération après génération.
La boutique Houillon
L’Atelier Houillon, spécialisé dans la confection et la création de bijoux sur-mesure au Mans, vous propose un large choix de bijoux. Des pièces uniques qui n’attendent qu’un coup de cœur de leur futur propriétaire pour accompagner de beaux moments de vie. Nous vous accueillons à la bijouterie-joaillerie du mardi au samedi, de 9h à 19h uniquement sur RDV. Vous êtes invités à prendre rendez-vous, afin que nous puissions être pleinement à votre écoute et disponibles pour satisfaire vos envies.
La boutique Houillon
L’Atelier Houillon, spécialisé dans la confection et la création de bijoux sur-mesure au Mans, vous propose un large choix de bijoux. Des pièces uniques qui n’attendent qu’un coup de cœur de leur futur propriétaire pour accompagner de beaux moments de vie. Nous vous accueillons à la bijouterie-joaillerie du mardi au samedi, de 9h à 19h uniquement sur RDV. Vous êtes invités à prendre rendez-vous, afin que nous puissions être pleinement à votre écoute et disponibles pour satisfaire vos envies.
“
Des artisans bijoutiers créateurs mus par la passion.
L’histoire de la joaillerie Houillon est longue
et passe de génération en génération.
Nous sommes en pleine seconde guerre mondiale.
Henri Houillon, originaire de la ville de Colombes, travaille dans un atelier parisien de renom. Il subit la guerre comme beaucoup de ses compatriotes. Mobilisé, il doit quitter la capitale, et est envoyé au Mans, afin de mettre son talent et son ingéniosité au service de l’aviation militaire : les moteurs d’avion nécessitent en effet autant de soin et d’attention minutieuse que les gemmes sur lesquelles Henri travaille habituellement.
Nous sommes en pleine seconde guerre mondiale.
Henri Houillon, originaire de la ville de Colombes, travaille dans un atelier parisien de renom. Il subit la guerre comme beaucoup de ses compatriotes. Mobilisé, il doit quitter la capitale, et est envoyé au Mans, afin de mettre son talent et son ingéniosité au service de l’aviation militaire : les moteurs d’avion nécessitent en effet autant de soin et d’attention minutieuse que les gemmes sur lesquelles Henri travaille habituellement.
Nous sommes en pleine seconde guerre mondiale.
Henri Houillon, originaire de la ville de Colombes, travaille dans un atelier parisien de renom. Il subit la guerre comme beaucoup de ses compatriotes. Mobilisé, il doit quitter la capitale, et est envoyé au Mans, afin de mettre son talent et son ingéniosité au service de l’aviation militaire : les moteurs d’avion nécessitent en effet autant de soin et d’attention minutieuse que les gemmes sur lesquelles Henri travaille habituellement.
Henri décide donc de rester au Mans en 1947
À la fin du conflit, Henri Houillon tente de retourner à Colombes, mais les effets dévastateurs de la guerre, notamment sur le logement, se font d’autant plus sentir sur la capitale meurtrie. Henri décide donc de rester au Mans et, en 1947, il installe sa joaillerie au Mans, au 15 rue Saint Benoît, dans le cœur de la vieille ville.
Henri décide donc de rester au Mans en 1947
À la fin du conflit, Henri Houillon tente de retourner à Colombes, mais les effets dévastateurs de la guerre, notamment sur le logement, se font d’autant plus sentir sur la capitale meurtrie. Henri décide donc de rester au Mans et, en 1947, il installe sa joaillerie au Mans, au 15 rue Saint Benoît, dans le cœur de la vieille ville.
Henri décide donc de rester au Mans en 1947
À la fin du conflit, Henri Houillon tente de retourner à Colombes, mais les effets dévastateurs de la guerre, notamment sur le logement, se font d’autant plus sentir sur la capitale meurtrie. Henri décide donc de rester au Mans et, en 1947, il installe sa joaillerie au Mans, au 15 rue Saint Benoît, dans le cœur de la vieille ville.
Une adresse qui n’a pas changé, plus de 70 ans plus tard.
Il troque alors ses outils de mécanicien de précision pour ceux de joaillier, et crée le poinçon qui accompagnera son travail tout le reste de sa vie. Le poinçon d’un joaillier est en effet sa signature, il est formé d’un losange et des initiales du joaillier, ainsi que d’un symbole qui lui est propre. Dans le cas de Henri Houillon, il s’agit d’une colombe, un animal choisi pour sa grâce et sa délicatesse, mais également, évidemment, une référence à sa ville d’origine.
Une adresse qui n’a pas changé, plus de 70 ans plus tard.
Il troque alors ses outils de mécanicien de précision pour ceux de joaillier, et crée le poinçon qui accompagnera son travail tout le reste de sa vie. Le poinçon d’un joaillier est en effet sa signature, il est formé d’un losange et des initiales du joaillier, ainsi que d’un symbole qui lui est propre. Dans le cas de Henri Houillon, il s’agit d’une colombe, un animal choisi pour sa grâce et sa délicatesse, mais également, évidemment, une référence à sa ville d’origine.
Une adresse qui n’a pas changé, plus de 70 ans plus tard.
Il troque alors ses outils de mécanicien de précision pour ceux de joaillier, et crée le poinçon qui accompagnera son travail tout le reste de sa vie. Le poinçon d’un joaillier est en effet sa signature, il est formé d’un losange et des initiales du joaillier, ainsi que d’un symbole qui lui est propre. Dans le cas de Henri Houillon, il s’agit d’une colombe, un animal choisi pour sa grâce et sa délicatesse, mais également, évidemment, une référence à sa ville d’origine.
Henri mettra son fils Bernard à l’apprentissage.
Ce dernier ayant raté son certificat de fin d’étude, il ne peut pas entreprendre les études de pharmacologie qu’il avait tout d’abord envisagé. Son père l’installe donc avec lui, une punition qui se transformera en bénédiction car Bernard, transcendé par le travail du métal et de la pierre, se transforme en joaillier de talent. Il deviendra meilleur apprenti de France, puis meilleur ouvrier de France, et rendra ainsi hommage au labeur de toute une vie de son père. Il tiendra l’atelier en famille durant des dizaines d’années, avant que sa fille Mylène ne le reprenne en 1997.
Henri mettra son fils Bernard à l’apprentissage.
Ce dernier ayant raté son certificat de fin d’étude, il ne peut pas entreprendre les études de pharmacologie qu’il avait tout d’abord envisagé. Son père l’installe donc avec lui, une punition qui se transformera en bénédiction car Bernard, transcendé par le travail du métal et de la pierre, se transforme en joaillier de talent. Il deviendra meilleur apprenti de France, puis meilleur ouvrier de France, et rendra ainsi hommage au labeur de toute une vie de son père. Il tiendra l’atelier en famille durant des dizaines d’années, avant que sa fille Mylène ne le reprenne en 1997.
Henri mettra son fils Bernard à l’apprentissage.
Ce dernier ayant raté son certificat de fin d’étude, il ne peut pas entreprendre les études de pharmacologie qu’il avait tout d’abord envisagé. Son père l’installe donc avec lui, une punition qui se transformera en bénédiction car Bernard, transcendé par le travail du métal et de la pierre, se transforme en joaillier de talent. Il deviendra meilleur apprenti de France, puis meilleur ouvrier de France, et rendra ainsi hommage au labeur de toute une vie de son père. Il tiendra l’atelier en famille durant des dizaines d’années, avant que sa fille Mylène ne le reprenne en 1997.
Bernard formera de nombreux apprenti(e)s, dont une en particulier
Bernard formera de nombreux apprenti(e)s, dont une en particulier sortira du lot : Adélaïde Hugedé, une jeune femme aux multiples talents, qui finira par avoir l’honneur de reprendre l’atelier après le départ de Bernard et de Mylène.
Bernard formera de nombreux apprenti(e)s, dont une en particulier
Bernard formera de nombreux apprenti(e)s, dont une en particulier sortira du lot : Adélaïde Hugedé, une jeune femme aux multiples talents, qui finira par avoir l’honneur de reprendre l’atelier après le départ de Bernard et de Mylène.
Bernard formera de nombreux apprenti(e)s, dont une en particulier
Bernard formera de nombreux apprenti(e)s, dont une en particulier sortira du lot : Adélaïde Hugedé, une jeune femme aux multiples talents, qui finira par avoir l’honneur de reprendre l’atelier après le départ de Bernard et de Mylène.
